MarcoServices - 7 nov. journée nationale cyberharcèlement

Cyberharcèlement : le cybercrime du siècle

  • Journée nationale du cyberharcèlement ce jeudi 7 novembre 2024 - Chez MarcoServices c'est du 6 au 9 Novembre pour lutter contre le Cyberharcèlement !

Le cyberharcèlement c'est quoi ?

Édito : Nous venons de terminer le #CyberMois, et là nous repartons pour 3 jours contre le cyberharcèlement et le harcèlement. Ce jeudi 7 novembre 2024 aura lieu la journée nationale contre le harcèlement. Une journée, c'est mieux que rien, vous allez nous dire. Certes, mais pour nous cela n'est pas suffisant pour vous faire comprendre à vous parents l'importance de ce cybercrime du siècle.

3 jours pour agir contre le cyberharcèlement avec nous !

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Qu'est-ce que le cyberharcèlement ?

On parle de cyberharcèlement lorsqu'un adolescent, un préadolescent ou un enfant utilise un appareil informatique pour menacer, humilier ou harceler de quelle que manière que ce soit un autre enfant. Il peut utiliser un ordinateur portable, un smartphone ou une tablette, et cyberharceler via diverses plateformes, par exemple SMS, e-mails, réseaux sociaux, forums en ligne et espaces de discussion. Dotés d’un appareil Internet et d'une connexion, les cyberharceleurs peuvent faire des ravages chez leurs victimes à tout moment, et presque en tout lieu. Et étant donné que cet acte ne nécessite pas d'interactions en face à face comme cela est le cas pour le harcèlement « physique », il peut s’avérer difficile d’attraper les coupables dans les temps.

Cyberharcèlement et harcèlement c'est pareil, non ?

Non, du tout le cyberharcèlement comme expliqué ci-dessus se passe sur les réseaux sociaux, par SMS, messageries. Le harcèlement est en physique, un professeur peut harceler votre adolescent, un autre ado peut l'harceler. Le harcèlement peut etre physique comme psychologique. Et l'un comme l'autre touche aussi bien les adolescents que nous les adultes !



image crée avec une inteligence artificielle, c'est pas une vraie personne.

Exemples de cyberharcèlement

Harcèlement direct : Il s’agit notamment de messages texte, d’emails ou de commentaires haineux, insultants ou grossiers (dans un forum ou via les réseaux sociaux), de l’utilisation de groupes de discussion comme moyen de se liguer contre quelqu’un en ligne, de la publication sur les espaces publics des profils de réseaux sociaux de la victime de contenus offensants, racistes ou insultants qui s’attaquent directement à elle ou à son image.

Les répercussions du cyberharcèlement : Pour les victimes, les effets du harcèlement, quelle qu’en soit la forme, peuvent aller de la colère et de la souffrance à la haine de soi et aux tendances suicidaires. Il n’est pas rare que les cibles de ces actes barbares développent une faible estime d’elles-mêmes, de l’anxiété, de la dépression et d’autres problèmes susceptibles d’altérer leur santé mentale et émotionnelle. Le cyberharcèlement peut avoir des répercussions encore plus grandes sur les victimes en raison des moyens employés. Par exemple, des informations sensibles partagées par e-mail peuvent être envoyées à une dizaine de camarades de classe, tandis que des photos embarrassantes peuvent parvenir à des milliers de personnes une fois publiées sur les réseaux sociaux.

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1 famille sur 4 déclare y avoir déjà été confrontée

Le 10 octobre 2024, le journal Ouest-France a publié un article au sujet du cyberharcèlement.

8 parents sur 10 sont préoccupés par l'utilisation que fait pourrait faire leur enfant sur internet. Et plus de 30% des parents se sentent mal informés des dangers d'internet pour leur enfant !
25% des parents ne saurait pas comment l'aider dans le cas où il serait victime ou coupable de cyberharcèlement.

C'est plutôt hallucinant vous ne trouvez pas ? Alors vous restez encore dans l'ignorance ?

59% des parents d'élèves scolarisés du CP à la 3e admettent que leur enfant a déjà été exposé à des images violentes, choquantes et pornographique.
La moitié des parents d'enfants scolarisés du CP à la 3e a été en conflit avec lui ou elle vis-a-vis d'un sujet lié au numérique.

Notre formation en prévention et sensibilisation débute pour les parents d'enfant à partir de 8 ans !

Des parents impliqués mais vite dépassés

Lucides, les parents ont parfaitement conscience des dangers du numérique. Parmi ceux ayant un enfant scolarisé du CP à la 3ème, 82% se disent préoccupés par l’utilisation qu’il fait d’Internet (88% à l’école élémentaire, 78% au collège). Cette prise de conscience s’exprime par une véritable volonté de bien faire. En effet, 80% des parents déclarent avoir sensibilisé leur enfant aux dangers d’Internet, quand ils sont 19% à avoir carrément créé un faux compte sur un réseau social à des fins de surveillance.

Mais cette implication a ses limites car seul un parent sur deux (50%) déclare utiliser un logiciel de contrôle parental sur l’ordinateur de son enfant. Un chiffre qui baisse lorsqu’il s’agit du smartphone de l’enfant (47%) et plus encore de l’ordinateur familial (34%). Cela est peut-être à mettre sur le compte d’une certaine méconnaissance des outils technologiques et de leur utilisation, mais aussi à la confiance – exagérée ? – que les parents accordent à leur enfant (61%).

« Même si ce chiffre semble déjà optimiste, on constate cependant que beaucoup de parents installent ces logiciels de contrôle parental sur les appareils des enfants sans connaître le fonctionnement de l’outil. Ils ne regardent que rarement les rapports d’activité et beaucoup d’adolescents et pré-adolescents parviennent à contourner les restrictions. Comme pour tout ce qui touche à la technique, c’est un premier pas d’installer les logiciels mais ces derniers ne seront efficaces que s’ils sont mis à jour, inspectés etc. »

Mais dans tout ça, l'école que fait-elle ?

L'école et les cybermenaces

Ces dernières années, le nombre croissant de cyberattaques visant les établissements scolaires est devenu une tendance très inquiétante.

Pourquoi les cybercriminels adorent les écoles ?

Plusieurs facteurs contribuent à la vulnérabilité croissante des écoles, ce qui en fait des cibles attrayantes pour les cybercriminels :

  • Une dépendance à l’égard de la technologie. Les établissements scolaires adoptent rapidement les technologies numériques et dépendent donc de l’infrastructure informatique, tant dans les salles de classe que dans les bureaux de l’administration. Toutefois, leurs pratiques en matière de cybersécurité laissent souvent à désirer.

  • Des données précieuses. Les établissements scolaires stockent une multitude d’informations confidentielles, notamment des données concernant les élèves et le personnel, ainsi que des dossiers financiers. Les violations de données peuvent avoir des conséquences dévastatrices, et ces données sont exactement ce que les pirates informatiques recherchent.

  • Des ressources rares. Les écoles sont souvent confrontées à des budgets limités et à une pénurie de professionnels qualifiés en informatique, en particulier dans le domaine de la cybersécurité.

  • Une faible sensibilisation des utilisateurs. Un grand nombre d’utilisateurs d’ordinateurs dans les écoles manquent de connaissances en matière de cybersécurité. Ils sont donc vulnérables aux attaques de phishing, aux programmes malveillants et à d’autres cybermenaces. Bien souvent, les enseignants ne sont pas beaucoup plus compétents en la matière.

Les établissements d’enseignement se retrouvent donc dans une situation délicate. Qui plus est, les attaques fructueuses attirent l’attention du public, ce qui donne du poids aux cybercriminels, notamment lors de la négociation de la rançon à la suite d’une attaque par ransomware. La nature essentielle et l’importance sociale des établissements scolaires jouent également un rôle important.

Certes, si une attaque par ransomware entraîne la fermeture temporaire d’une chaîne de magasins, c’est désagréable, mais avant tout pour l’entreprise elle-même. En effet, les clients peuvent généralement aller voir ailleurs assez facilement. Cependant, si une cyberattaque interrompt l’activité d’une école, les conséquences sont bien plus graves. Les élèves ne vont plus en cours, leurs résultats scolaires s’en ressentent et les parents doivent organiser la garde de leurs enfants, sans compter les autres tracas qui en découlent.

Il existe des protections pour les établissements scolaires, mais pour cela, fraudait-il que l'état est les moyens !

Selon le site enough.org, en décembre 2022, près de la moitié (46 %) des jeunes (âgés de 13 à 17 ans) avaient été victimes de cyberharcèlement, et les sondages en ligne indiquent que les enseignants considèrent le cyberharcèlement comme l’un des principaux problèmes de sécurité en classe auxquels ils sont confrontés aujourd’hui. En tant que parents, vous devez impérativement vous informer au maximum sur ce que font vos enfants sur Internet et sur leur smartphone.

L’une des idées fausses les plus répandues est que les garçons sont toujours les agresseurs et que les filles sont plus susceptibles d’être les victimes. En fait, des études suggèrent que les filles sont tout aussi susceptibles que les garçons d’être à la fois victimes et harceleurs, les garçons étant plus susceptibles d’être victimes de cyberharcèlement lorsqu’ils jouent sur une console de jeu et les filles étant plus susceptibles d’être victimes de cyberharcèlement par le biais des réseaux sociaux.

De nombreux adultes pensent que les réseaux sociaux sont les scènes les plus propices aux comportements de cyberharcèlement, ce qui est vrai dans de nombreux cas. Cependant, comme environ 95 % des adolescents américains ont accès à un smartphone (et que 45 % d’entre eux déclarent avoir une activité en ligne quasi permanente), de nombreux adultes et parents ne sont peut-être pas conscients de l’ampleur potentielle du cyberharcèlement chez les adolescents. Alors que le cyberharcèlement peut se produire via Facebook, Twitter, Instagram, TikTok ou Snapchat, les emails, les SMS et les applications de messagerie directe sont des vecteurs tout aussi adaptés au cyberharcèlement. Avec l’accès quasi omniprésent aux smartphones et l’évolution rapide des technologies, il est impératif de surveiller en permanence les appareils numériques/connectés à Internet de vos enfants afin de garder une longueur d’avance sur les menaces éventuelles.

MarcoServices donne des conseils :

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  2. Lui interdire d'avoir un smartphone, pourquoi ? Inscrivez-vous pour connaitre la réponse !

  3.  Lui interdire internet à la maison, pourquoi ? Inscrivez-vous pour connaitre la réponse !

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  7. Vous attendez quoi pour vous inscrire ? Qu'il soit trop tard pour votre enfant/adolescent ?
  8. Nous sommes des cyberengagés auprès de la CYBERMALVEILLANCE.GOUV.FR